Ce matin, ma doudou n’a rien trouvé de mieux que de m’asseoir devant un porno! Ou du moins, devant un documentaire très sérieux, diffusé sur Arte intitulé comme un film de loisirs pour adultes : La face cachée des fesses.
Dans le susdit documentaire, les réalisateurs tentent d’expliquer de façon relativement satisfaisante l’attrait que nous autres, pauvres hères, avons pour la partie charnue.
Si vous aussi vous vous mordez les doigts d’avoir raté un si grand moment de télévision, sachez que vous pouvez encore le voir pendant 7 jours sur le site de VOD gratuit Arte+7. Ca va déjà mieux, non ?
Si vous faites partie de la secte des adorateurs du haut de la cuisse ou si vous vous êtes toujours demandé ce que les hommes et les femmes trouvaient à ces deux « lobes charnus du corps humain situés en bas du dos, au-dessus des cuisses », je ne saurais trop vous le conseiller.
En plus de faire mon éducation, ma chère et tendre m’a fait part d’une remarque très pertinente que je me devais de partager ici avec vous :
Le film en question présente le postérieur, les fesses, le cul, le bunda (pour parler brésilien), bref le derrière (comme disent nos amis anglophones), comme un élément incontrôlable de l’anatomie humaine : essayez un peu d’éduquer vos fesses pour voir!
Mais un autre documentaire, lui aussi excentré vers le bas du dos nous présente une toute autre vision de la fesse 2.0.
Mieux, dans ce documentaire sur la fameuse Mulher Melancia (la femme pastèque) on apprend que le séant est devenu le nouvel accessoire à la mode, qu’il peut être façonné, contrôlé, voire contrefait…
Ca fait froid dans le (bas du) dos !
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