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Si vous vous retrouvez ici, c’est soit que vous vous y êtes perdus, ou soit que je vous y ai forcé (au quel cas vous êtes également perdus !). Ce Blog voit le jour sous la contrainte, et sous les coups de fouets aussi: Ma douce doudou, agacée d’être la seule à subir mes élucubrations à propos de mes trouvailles du net me poussait depuis quelques temps à les partager avec le plus grand nombre. Après quelques coups de pied au derrière, je me lance, donc voilà: THIS IS IT! Sam is out.

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You got to look at this! Bioshock Infinite

mercredi 22 septembre 2010 1 commentaires

Si les pérégrinations sous-marines de Bioshock premier du nom m'avaient laissé plus que perplexe (je crains souffrir d'une claustrophobie vidéoludique) cette vidéo de Bioshock Infinite, le dernier né des studios 2K Games, me remplit d'une douce euphorie. 

C'en est fini des profondeurs abyssales explorées dans les opus précédents. Biochock Infinite se déroulera au début du siècle dans Columbia, une ville utopique perchée dans les nuages...


Donc comme je vous le disais, ce titre commence à me plaire! Non mais franchement, regardez moi ça! Chatoyant, intelligent, engagé, avec en prime tout plein d'action qui fait boum... Ce jeu à tout pour plaire! 

Je sais bien qu'il s'agit de mon troisième article "Jeu-vidéo" d'affilée, mais bon, quand même, c'est du lourd! Vivement 2012! En attendant, enjoy !


El Shaddai... À vos souhaits...

samedi 18 septembre 2010 0 commentaires

Le Jeu-video est-il une forme d'Art ? Ne partez pas, rassurez-vous, je ne vais pas partir dans une de mes fameuses dissertations stérile sur le sens de la vie, Kant et les crottes de nez...

Mais comment ne pas parler d'Art quand on a affaire à une réalisation aussi léchée que celle d'El Shaddai, le nouveau titre d'Ignition Enterntainement?

Dans ce jeu à paraître sur PS360, on retrouve un vrai parti pris graphique. À vrai dire, on dirait une aquarelle: C'est beau, ça à l'air d'être maîtrisé et la technique sert l'atmosphère Onirico-ésotérique du jeu. En fait, El Shaddai me rappelle plus le travail de Michel Ocelot (Kirikou, Azur et Asmar... ou de Paul Grimault (le roi et l'oiseau) que celui de Shinji Mikami (Resident Evil).



Quant au scénario aux inspirations Bibliques (El Shaddai étant l'un des noms de Dieu), il est loin de nous prendre pour des cons. Ici, point de lutte acharnée contre des extraterrestres/zombies/mutants débiles. El Shaddai est bourré de références plutôt originales et les livres saints servent de base à un scénario, certes classique en substance, mais pour le moins recherché et travaillé... 



Dans ce titre, vous incarnerez Enoch, fils de Caïn, Arrière Grand père de Noé et père de Matusalem... Rien que ça! Et ce beau blond aura pour mission, de combattre des vilains archanges pas beaux dans l'espoir de libérer des anges déchus... Mais trêve de bavardages, matez moi donc ce trailer: c'est de la poésie en pixels!


Asura's Wrath

vendredi 17 septembre 2010 0 commentaires

En passant en revue ce que les éditieurs japonais avaient à présenter au Tokyo Game Show je suis tombé sur Asura's Wrath, une de tuerie videoludique signée Capcom comme on en a pas vu depuis belle lurette. 

Comment vous résumer la chose... Imaginez Ken le survivant qui aurait bouffé du Dragon Ball Z et God of War aussi, puis multipliez tout ça par l'infini et vous devriez avoir une petite idée de la teneur d'Asura's Wrath!  



Bon, soyons raisonnables, il ne s'agit que d'un trailer, mais nom de dieu, ça envoie du bois! Ce jeu à tout pour plaire: Des combats titanesques (Kratos fait figure de (très) petit joueur à côté!), Des influences originales - indiennes en l'occurrence - et des personnages masochistes/indestructibles/ultra stylées capables de détruire des planètes! 



Prévu pour PS360, Asura's Wrath n'a pas encore de date de sortie. En attendant d'en savoir plus, jetez-donc un coup d'oeil au trailer explosif du jeu!

Des Tortues Ninjas... Sérieusement ?

0 commentaires

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Ne me demandez pas comment c'est arrivé, mais aujourd'hui mes tribulations sur internet m'ont conduit à m'intéresser aux origines de nos chères amies "d'écailles et de vinyle", les Tortues Ninjas.


Souvenez-vous, nous sommes au beau milieu des années 80 et les Tortues Ninja sont LES héros à la mode. Non, sérieusement, on faisait difficilement plus cool... Les TMNT, c'était de l'action à gogo, de l'émotion et du charme aussi! Qui n'a pas fantasmé devant les courbes d'April O'neil, la reporter à l'improbable combinaison de latex jaune?

Mais notre voyage nous amène bien plus loin, jusqu'aux origines de nos amis à sang froid... En se replongeant à l'origine des Tortues Adolescentes Mutantes Ninjas, on découvre que leur naissance est bien plus obscure que la série animé qui a bercé notre enfance (voir couverture ci-contre).


Autant le dire clairement, le premier volume de la BD TMNT est super sombre, méga gore et ultra violent. En fait, on est à des années lumières de l'ambiance festive et insouciante du dessin animé: Les Tortues se battent à mort contre des ennemis qui n'hésitent pas à utiliser des armes à feu contre elles; Il y a du sang, des cadavres et des tas de gros mots! Un vrai film noir quoi! Pour résumer, l'ambiance de ce Comic vous fera sans doute un peu penser aux oeuvres d'Alan Moore, notamment les graphic novels 300 et V pour Vendetta.


Si vous souhaitez vous faire une petite idée, jetez donc un coup d'oeil ici...Les premiers tomes sont scannés et accessibles gratuitement. Les plus courageux remarqueront avec étonnement les importantes modifications qui ont été faites à la naissance de Splinter...


Le long métrage d'animation Turtles Forever illustre ces différentes époques de la vie des Tortues en faisant se rencontrer les personnages de la série animée des années 80, ceux de celle des années 2000 et les Tortues originales, celles de la BD, autrement plus Bad Ass...Du caviar made in Obliik! Cowabunga!


La Guadeloupe, une colonie française ?

mardi 8 juin 2010 0 commentaires

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Très sympathique ce petit documentaire... Une jolie façon de prendre l'exact contrepied de ce mauvais reportage diffusé sur canal plus ("Les derniers maitres de la martinique" si je me souviens bien), si biaisé et si populiste, qui a fait tant plaisir à nos compatriotes en mal de ramassis d'histoire de comptoir et lutte des classes/races à deux balles.

Plutôt bien mené, aussi neutre et progressiste qu'on peut se le permettre, ce docu m'a donné le plaisir de voir mes convictions enfin portées à l'écran; C'est donc un must see, définitivement, à diffuser dans les écoles, ou à notre président tiens, vu que seules les requètes communautaristes diffusées via média audiovisuel semblent l'atteindre.

Souffrant néanmoins de quelques maladresses ( attention à ne pas stygmatiser le touriste continental, à ne pas forcer le débat en imposant une théorie multiculturaliste, certes dans l'air du temps (cf Royaume-Uni, Australie, Canada) mais elle aussi discutable), ce documentaire offre la meilleure photographie de la question identitaire Antillaise que j'ai pu voir depuis fort longtemps.



Et on clique là pour voir le documentaire...

PS: Si la vidéo ne passe pas, essayez avec Firefox...

Penguin's iPad-formatted books shown off, making waves -- Engadget

vendredi 5 mars 2010 0 commentaires

C1AF1C48-7E6D-487F-9E8B-13AE3A065229.jpgSeriez vous prêts à abandonner vos bons vieux livres classiques au profit d'un iPad? En tous cas, c'est ce que Apple et les éditeurs du livre aimerait que vous fassiez de toute évidence: La vidéo ci dessous dévoile les projets de "livres interactifs" développés en ce moment par le géant du livre anglais Penguin. On peut y voir un livre pour enfant qui se transforme en jeu, un ouvrage sur l'anatomie permettant de voir les organes du corps humain en action (miam!) mais la palme revient au roman pour adolescents boutonneux, Vampire Academy, qui est livré avec un réseau social de chat instantané dédié (histoire que nos petites têtes de déterrés puissent trouver l'âme soeur sans même lever le nez de leur bouquin)...




(Via http://www.engadget.com/2010/03/04/penguins-ipad-formatted-books-shown-off-making-waves/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+weblogsinc%2Fengadget+%28Engadget%29)

Test - Assassin's Creed II: Discovery

jeudi 11 février 2010 0 commentaires

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Assassin's Creed II: Discovery est la deuxième aventure tirée de l'univers de la série de jeu Assassin's Creed à être adaptée sur l'iPod et l'iPhone. Retraçant cette fois ci les aventures d'Ezio et non plus celles d'Altaïr, le jeu devrait ravir les fans d'infiltration et de furtivité en mal de mobilité. Assassin's Creeed II: Discovery a-t-il appris des erreurs de son grand frère et pourra-t-il se démarquer des myriades d'autres jeux de l'App Store?

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L'histoire


L'histoire d'Assassin's Creed II: Discovery se déroule dans l'Italie du 15eme siècle, soit en pleine Renaissance. Le jeu vous propose de suivre les pas d'Ezio Auditore da Firenze, un jeune vénitien dont la famille a été trahie et sauvagement assassinée. Accusé à tort, il entrera dans la confrérie des assassins afin de venger la mort de ses proches et de rétablir l'honneur de sa famille.

Comme un air de déja-vu...


La première chose qui vient à l'esprit quand on joue à Assassin's Creed II: Discovery, c'est sa frappante ressemblance avec les touts premiers épisodes de Prince of Persia: AC2D est un side-scroller où il faudra remplir un certain nombre de missions en évitant de se faire repérer par des gardes armés jusqu'aux dents. Le personnage, visible de profil, se déplace en esquivant les ennemis, en escaladant les murs ou en se glissant avec finesse dans des passages étroits.

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Bellissima ragazza


Passé les premières minutes de jeu, on se rend vite compte qu'Assassin's Creed II: Discovery ne remportera pas de prix de beauté: Les graphismes sont datés, les personnages peu détaillés, et les textures sont tout simplement hideuses. Le jeu est loin de tirer le maximum des capacités de l'Iphone et on s'en rend bien compte en jetant un coup d'oeil à la concurrence. Les couleurs sont terriblement ternes et les villes traversées sembleraient véritablement mortes si les quelques sprites représentant les citoyens n'étaient pas présents en arrière plan.

Ma qué?


Le jeu commence par vous imposer un tutorial dont la redondance n'a d'égal que la laideur. Grâce à ce dernier, on se rend vite compte de la complexité des commandes: Ici, un "curseur" remplace le traditionnel joystick tandis que des boutons contextuels serviront à se battre, sauter et faire des roulades. Malheureusement, cette disposition manque cruellement de précision et on se retrouve souvent à devoir chercher le bouton correspondant à telle ou telle action, ou à carrément devoir attendre qu'il devienne disponible.

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Venise, vidi, vici...


Ce manque de précision se retrouve également dans la jouabilité du jeu qui semble sans cesse hésiter entre deux extrêmes. En effet, transposé à un petit side-scroller destiné à l'Iphone, la cohabitation entre l'infiltration et le Free-run ne fonctionne plus. Imaginez un personnage aussi rapide que Sonic obligé de se planquer à la vue de chaque ennemi pour ne pas déclencher d'alarme: la frustration est assurée! Dans Assassin's creed II: Discovery on sera donc sans cesse tiraillé entre l'envie de traverser les niveaux en sautant de toits en toits tel un aigle impérial et celle de se tapir patiemment dans l'ombre à attendre le passage des garde. L'impression qui en découle est un celle d'un cruel manque de rythme: l'architecture tarabiscotée des niveaux et les combats quasi inévitables ralentissent considérablement la cadence du jeu.
Les meilleurs moments du soft restent les nombreuses fois où Ezio, devant quitter le lieu du crime sans être capturé, s'enfuit à travers la ville en évitant les gardes à sa poursuite.

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...Oui mais des Panzani?


Ezio grimpant le long des parois avec l'agilité d'escargot arthritique, vos courses folles seront souvent terminée prématurément par une rencontre malencontreuse avec un mur.
La progression du joueur ne sera pas aidée par la caméra du jeu trop centrée sur le personnage empêchant de prévoir les actions du personnage à l'avance. Les combats monotones et répétitifs contribueront à cette impression générale. Cependant, la possibilité d'assassiner ses ennemis discrètement viendra égayer l'aventure: Rien ne vaut la jouissance qu'on éprouve en sautant sur un adversaire pour lui enfoncer une lame de 30 cm dans la jugulaire. La palette de mouvements dédiées aux assassinats est très variée et Ezio vous étonnera par son zèle meurtrier.

En conclusion, Assassin's Creed II: Discovery donne l'impression d'un jeu pris entre deux feux: d'un côté le side-scroller rapide et nerveux, et de l'autre, le jeu d'infiltration. Ce jeux intéressera peut-être les fans les plus acharnés d'Ezio; les autres feraient mieux de passer leur chemin: à 8€ sur l'App Store, Assassin's Creed II: Discovery ne vaut pas vraiment la coup.




Note: 3/5



Graphisme: 11/20




Les animations des personnages sont rigides et peu esthétiques. On est loin des prouesses d'Ezio sur consoles de salon. Les textures laides et les effets lumineux pixélisés vous rappelleront les pires moments de la playstation originale.

Jouabilité: 13/20


La palette des mouvements d'Ezio est variés (parades, esquives, exécutions, etc.).
Les contrôles sont innovants mais discutables: Leur disposition n'est pas très intuitive et la précision laisse souvent à désirer.

Son: 12/20




Mauvais point, Les voix du jeu sont en anglais sous-titré: C'est dommage pour un jeu se déroulant essentiellement en Italie. Les plus anglophobes d'entre vous devront s'armer de patience. Les musiques d'ambiance sont plutôt réussies. Mélangeant chants lyriques et musiques modernes elles contribuent créer une atmosphère mystérieuse et envoutante. Les bruitages sont quant à eux répétitifs et peu inspirés.

Scénario: 15/20


Le Scénario reprend celle du jeu sur consoles de salon: Rien de bien original.
Les objectifs de vos missions seront néanmoins variés (récupérer un atlas, protéger un riche vénitien, poursuivre une voleuse des rues à Barcelone, etc.).